Comme un quart des Montréalais, les poissons du fleuve Saint-Laurent carburent au Prozac apprend-on dans Le Devoir ce matin. Menée par des chercheurs du département de chimie de L'UdeM, l'étude, qui dévoile ces données pour le moins surprenantes , suscite un vif intérêt dans plusieurs villes du monde, confrontées au même problème . En effet, comme à Montréal, les systèmes de traitement des eaux usées des grandes métropoles ne permettent pas d'effacer complétement toutes traces de médicaments. L'équipe de chercheurs affirme aussi que la concentration de ces produits dans l'eau est trop faible pour nuire à la santé des humains. Pour en savoir plus cliquez ici ou sur le titre du post.