Bonjour chers lecteurs et merci de nous lire depuis novembre!
Nous avons passé aujourd'hui le cap des 1000 lecteurs ! Tranquillement pas vite comme on dit ici, nous alimentons, Typhaine et moi, cette belle tribune, un espace de liberté et de créativité qui nous est devenu indispensable! Merci de vos encouragements aussi! Ils redoublent notre motivation! Au plaisir de vous croiser encore ici et surtout n'hésitez pas à nous donner votre avis!
Depuis sa sortie, le 20 octobre dernier, le premier album de Tintin en québécois, Colocs en stock , (directement adapté du Coke en stock d’Hergé) a fait couler beaucoup d’encre et rarement pour récolter des éloges. Proposé à plusieurs reprises par le sociologue québécois Yves Laberge aux éditions Casterman, le projet a fini par séduire et le « traducteur » a eu carte blanche pour remplir les bulles du célèbre reporter belge. Malheureusement l’accueil populaire a été plus que froid de ce côté-ci de l’Atlantique. « Ridicule », « grotesque », « farce monumentale », les 62 pages ont déclenché l’ire des tintinophiles et des (nombreux) défenseurs de la langue française, donnant lieu à de multiples diatribes souvent dignes du Capitaine Haddock. Que reproche-t-on à Yves Laberge? « Une traduction infidèle », « un abus de vocabulaire passéiste », « une sur-joualisation » des dialogues… La liste est longue. Mais le reproche que l’on retrouve le plus souvent dans la bouche ou sous la plu
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Romarin